
Pour régler une problématique liée aux voitures de société, le gouvernement fédéral a décidé d’inviter les partenaires sociaux de définir, une nouvelle fois, des mesures pour lutter contre la fraude sociale. Outre qu’il est illogique de lier les deux dossiers, Embuild s’étonne de cette nouvelle demande en matière de lutte contre la fraude sociale. En effet, la lutte contre la fraude sociale a déjà fait l’objet d’une déclaration commune de tous les partenaires sociaux de la construction, déclaration à ce jour encore non-exécutée par le gouvernement fédéral. « Il faut d’abord et surtout contrôler les règles existantes en matière de fraude sociale avant d’en introduire de nouvelles qui ne viennent finalement que pénaliser les entreprises qui jouent le jeu », assure Christine Lhoste, directrice-générale d’Embuild.





